Poutine
le nouveau Hitler.
Crimes
contre la paix et complot.
Les crimes
contre la paix sont « la direction, la préparation, le déclenchement ou la
poursuite d’une guerre d’agression, ou d’une guerre de violation des traités,
assurances ou accords internationaux, ou la participation à un plan concerté ou
à un complot pour l’accomplissement de l’un quelconque des actes qui précèdent
». Cette définition précise par la suite que tous les accusés, sans exception,
ont participé à un complot destiné à commettre des crimes contre la paix, des
crimes de guerre et des crimes contre l’humanité. Les auteurs exposent ainsi la
notion de crimes contre la paix et la notion de complot. Tous les accusés
seront inculpés de complot, presque tous de crimes contre la paix.
Poutine
a tout bon ! Il se déclare « maitre du monde » ! Il viole
lois ou traités comme un gamin à qui on a volé ses billes ! Paranoïaque,
par sa propagande de terreur vis-à-vis des citoyens russes, il ligote toutes
informations démocratiques. Et met en prison ses opposants. Communisme et goulag sont
toujours insérés dans son cerveau de minus ! Un ex « maitre
KGB » , roi de l’espionnite !
Crimes de
guerre.
La
définition des crimes de guerre n'a pas changé depuis le début du XXe siècle :
il s'agit de violations des lois et coutumes de guerre, dont l'assassinat et
les mauvais traitements des populations civiles ou des prisonniers militaires,
déportation des populations civiles, l'exécution d’otages, le pillage de biens,
la dévastation et la destruction de villes ou villages sans motifs, etc.
Poutine
a bien par son invasion de l’Ukraine, pays libre, pillé, dévasté, détruit
villes et villages. Le mauvais traitement des populations civiles a donc
engendré leur meurtre par des actions armées. Et l’ONU assiste au carnage sans
réaction ! Ce qui veut dire que ce truc machin ne sert à rien et coute une
fortune à tous les imposables de la planète !
Crimes
contre l’humanité.
La
définition des crimes contre l'humanité n’a été retenue qu’après un examen de
quinze versions différentes. La version adoptée comprend dans cette notion «
l’assassinat, l’extermination, la réduction en esclavage, la déportation et
tout acte inhumain commis contre toutes les populations civiles, avant ou
pendant la guerre, ou bien les persécutions pour des motifs politiques, raciaux
ou religieux, lorsque ces actes ou persécutions, qu’ils aient constitué ou non
une violation du droit interne du pays où ils ont été perpétrés, ont été commis
à la suite de tout crime entrant dans la compétence du tribunal ou en liaison
avec ce crime.
Poutine
a fait déporter des enfants en Russie ! Sa prétendue dénazification est un
pur stratagème, de persécution de civils ! Les droits d’une nation libre,
violés, on peut le comparer à un esclavage. Les persécutions morales liées à sa
propagande digne de Hitler sont immondes !
Quand
Vladimir Poutine est arrivé au pouvoir en 1999, il s’est retrouvé face à un
pays démoralisé. Les années 1990 ont été une période très chaotique
politiquement et économiquement, il fallait trouver de nouveaux repères
fédérateurs de la société.
Pour faire
renaître un sentiment national et réconcilier la population avec son passé, il
a essayé de trouver des références positives. Il a saisi que la victoire sur
l’Allemagne d’Hitler était un élément galvanisant pour la population, grâce à
la mise en valeur du rôle de l’Union soviétique dans la libération de l’Europe
du nazisme. Cette date du 9 mai fêtée en Russie ( et non le 8 mai) est même
plus importante que celle du 12 juin, date officielle de la fête nationale qui
célèbre l’indépendance de la Fédération de Russie.
Avec
l’ouverture des années 1980 grâce à la perestroïka, l’histoire est revue et met
en avant des points plus tabous comme le destin prisonnier de guerre ou la
collaboration avec le IIIe Reich. Mais les générations qui ont connu la guerre
commencent à disparaître et la fin de l’URSS achève d’invisibiliser cette
mémoire. Arrive Vladimir Poutine. Lui veut remettre l’histoire au centre de son
discours. “Comme en 1945, la victoire sera à nous”, a-t-il répété en 2022.
Il a toujours eu une instrumentalisation
de la mémoire. Celle-ci est fragile et encore plus facile à manipuler quand les
personnes qui ont vécu les événements 40/45 ne sont plus là !
Le maître du
Kremlin en a profité. Depuis 20 ans, de nombreuses initiatives sont prises pour
inculquer une histoire officielle, oubliant par exemple les crimes de l’Armée
rouge ou le pacte de non-agression germano-soviétique de 1939 qui délimitait
des sphères d’influences entre l’Allemagne et l’Union soviétique. Cette
nouvelle vision est relayée dans des expositions culturelles, dans les manuels
scolaires, mais aussi dans la loi. En 2014, un texte a été voté pour
criminaliser la réhabilitation du nazisme. Sauf qu’il est très flou et permet
de punir par des peines allant jusqu’à plusieurs années de prison tout propos
qui s’écarte de la version officielle de la Seconde Guerre mondiale. Il
réprimande aussi ’la diffusion d’informations sciemment fausses sur les
activités de l’URSS pendant la Seconde Guerre mondiale.
Une
obsession personnelle.
En 2020,
Vladimir Poutine est allé encore plus loin. Le référendum lui permettant de
rester au pouvoir en s’affranchissant de la limite des deux mandats consécutifs
portait également sur un amendement de la Constitution. Celui-ci proclame que
la Fédération de Russie a pour obligation de protéger la vérité historique et
interdit de minimiser la signification de l’héroïsme du peuple qui défend la
patrie.
En fait,
Vladimir Poutine resserre la vis progressivement sur l’héritage de la Grande
Guerre patriotique. C’est une obsession personnelle, il se sent concerné par
cette histoire et il est convaincu de ce qu’il dit. Il pense que la Russie a
rempli une mission historique absolue, a sauvé le monde et gagné une bataille
du bien contre le mal en 1945. Un sentiment désormais largement partagé dans la
population russe au vu de la propagande active depuis plusieurs années.
Redorer
le blason de la Russie.
L’histoire
de ce conflit tel qu’il est vu par Vladimir Poutine n’est pas seulement un
message pour les Russes, mais aussi pour l’Occident. Il mobilise pour redorer
le blason de la Russie au niveau mondial, pour justifier sa revendication d’un
statut de grande puissance et d’avoir une place à part entière dans le concert
européen, en mettant en avant le rôle de l’URSS dans sa victoire contre le fascisme.
Avoir une voix au chapitre est d’autant plus important dans le contexte de
fortes tensions avec les États-Unis, l’Europe, et l’Otan. En 2019 par exemple,
le Parlement européen a adopté une résolution mettant sur le même plan le
nazisme et la dictature communiste, ce qui a provoqué l’ire de Moscou.
Ce n’est
donc pas un hasard si Vladimir Poutine a multiplié les références à la Shoah
pour justifier l’opération militaire spéciale en Ukraine (le nom qu’il donne à sa
guerre), invoquant son désir de “dénazifier” le pays et sauver les peuples du
Donbass victimes d’un génocide. Encore une fois cependant, il a une vision
tronquée de la situation. “Le pouvoir russe instrumentalise à toute force le
thème des forces néo-nazies et d’extrême-droite en Ukraine, amplifiant leur
importance, accusant le pouvoir ukrainien de complaisance à leur égard. Poutine
sait que cela résonne fortement dans l’esprit de la population et, espère-t-il
sans doute, ailleurs, en Europe et dans le monde.
Le discours
sur la présence supposée de “nazis” n’est pas né en 2022. Dès 2014 et le début
de la guerre dans le Donbass et en Crimée il insiste dans ses délires. A ce
moment-là, cet argument a fait surface et le gouvernement russe a établi une analogie
: il se représente comme étant l’Union soviétique de 1941 à 1945.
On perçoit
vite un autre parallèle avec la Seconde Guerre mondiale : l’armée russe, comme
l’armée soviétique auparavant, est un pur art de la destruction, il n’y a pas
de savantes manœuvres.
Goebbels proche
d’A. Hitler, fut, avec H. Göring et H. Himmler, l’un des dirigeants les plus
puissants et influents du régime nazi. Alors lorsque Poutine fait référence
aujourd’hui dans ces discours, en l’occurrence lors de celui de l’annexion des quatre
régions ukrainiennes, il y a de quoi s’inquiéter !! Voilà un dirigeant
dictateur, qui aspire à devenir le maître du monde et qui veut redonner vie à
la Grande Russie.
Au début de
cette guerre Poutine annonçait vouloir dénazifier l’Ukraine mais il s’appuie
depuis bien longtemps sur les pensées et les méthodes du plus grand
manipulateur des populations (Goebbels), super intendant et ministre en charge
de la propagande de Hitler ! Cet homme est donc dangereux ! Parano, mépris
d’autrui, belliqueux, intolérance fanatique … Tyran dictateur, les mains dans
le sang … des autres évidemment, pas sa clique de voleurs violeurs !!!
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