mardi 5 octobre 2010

Stop au massacre de la baleine.

Vous pouvez visionner le "PPS" film sur ce site.


http://www.authorstream.com/Presentation/aSGuest70128-560640-halte-au-massacre-la-baleine/

Plein écran avec petit carré en bas de l'écran "Authorstream"...site hébergeur américain que je remercie pour son accueil....

       Sous couvert de recherches scientifiques, les Japonais tuent des milliers de baleines chaque année.Et c’est juste par tradition que la NORVEGE et l’ISLANDE les imitent.C’est intolérable.Les habitants de notre planète n’ayant en aucun cas besoin de consommer la chair de ce mammifère tellement évolué.
       Non plus que la graisse qui fut largement utilisée par l'industrie cosmétique. À la suite d'une chasse intensive et incontrôlée, de nombreuses espèces sont maintenant en voie de disparition. Des traités internationaux limitent aujourd'hui de façon très stricte la chasse à la baleine. Le Japon, l’Islande et la Norvège, invoquant l'impact négatif des cétacés sur les stocks de poissons, dont leurs économies dépendent, continuent à ne pas respecter les moratoires successifs votés lors des réunions de la Commission Baleinière Internationale. Ils massacrent donc impunément des espèces en minimisant la menace d'extinction, et en avançant comme justification la recherche scientifique. Cet argument est nul puisque on retrouve peu après ces baleines aux menus des restaurants.Il s’agit donc bien du viol du moratoire international. Leur disparition risque ainsi d'amplifier un bouleversement du peuplement des océans, en entraînant la disparition de nombreuses espèces de certains planctons, dont dépendent de nombreux poissons et crustacés.
    D’autres animaux sont victimes de la cruauté humaine gratuite et inutile :
Les tigres (dents, fourrure), les éléphants (défenses pour l’ivoire), les loups et les ours bruns (mangeurs de moutons, fourrures ?), les bébés phoques (encore fourrures), les requins (ailerons)…etc.…Il en faudrait des pages…
L’animal peut vivre sans l’homme mais l’homme ne peut vivre sans l’animal.

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