Grèves des transports et prise d'otages.

                   Trop c’est Trop. ! 1131 conflits en 3 ans dans le secteur aérien ! Soit 176 jours de perturbations.

                 Si toutes les entreprises françaises jouaient de cette musique nous serions au niveau du Burundi ! Magnifiques stratégies syndicales d’irresponsables auxquels sont attenants pourtant des scandales récents sur leurs gestions financières de CE.Avec la RATP et la SNCF ils continuent donc de prendre en otages travailleurs ou vacanciers.Leur métier n’est pas « transporteur » mais gréviste.La compagnie maritime SEA France a été tuée par la CFDT .Chérèque, secrétaire général CFDT, a dû radié ses éminents commis saboteurs.Bientôt sera le tour du port de Marseille avec un autre syndicat, pour des raisons similaires.Ces inconséquents syndicaux capturent donc maintenant l’emploi dans nos administrations alors que le privé a déjà été mis à genoux par leurs exigences irréalistes et l’appétit dévorant des financiers.Notre pays est donc par conséquent aux mains de voyous manipulateurs.

                Finance et syndicalisme même combat.Profiter,profiter,profiter…Les politiciens sont complices de cet état de fait.Toujours cette ravageuse oligarchie.Et tout ce joli monde pense t’il que des travailleurs ont probablement perdu leur emploi pour leurs retards répétés ?

SNCF : leur astuce pour être payé en temps que gréviste.

            Profitant d’une faille de la loi de 2007 sur le service minimum dans les transports terrestres, ils déposent un préavis de grève, 48 heures avant le service …Mais le matin de la grève ils se présentent malgré tout …et faute de matériels présents…ils rentrent chez eux…Du coup étant dans la légalité…ils sont payés...N’est elle pas belle notre Administration en sur effectifs dans beaucoup de domaines…payée par les travailleurs et retraités du privé !!! Agir sans cesse par soumission devrait être considéré comme un délit.Oui le droit de grève en démocratie, mais l’intelligence l’ordonne à bon escient.

Là où est l'ordre, c'est le pain … là où est le désordre, c'est la faim. (G. S. Ghibaudo)